Depuis le début 2021, l’association et ses membres ont retenu l’attention des médias avec trois nouveaux articles parus à leur sujet :
Le mensuel économique EcoRéseau Business a consacré sa page « trophée du rebond » au parcours de Michel Picot, journaliste radio-TV fondateur de la Fabrique de contenus et concepteur-animateur du Business Club de France : cet article paru le 11 janvier 2021 revient sur la façon dont il est passé de journaliste salarié à entrepreneur fondant sa propre maison de production, puis comment après une longue histoire avec BFM, il a rebondi en imaginant un modèle hybride entre webTV et TV hertziennes locales
Pour le lire, cliquer sur https://www.ecoreseau.fr/entreprendre/rebondir/2021/01/11/67504-michel-picot-presentateur-radio-ses-rebonds-lont-transforme-en-entrepreneur
Ecoréseau Business a aussi récemment parlé le 12 janvier 2021 du livre de Marjorie Llombart et Magali Perrucchini, 180° Reconversion – Réussir le virage de l’entrepreneuriat paru chez Vuibert, livre didactique et pratique à l’attention des aspirants entrepreneurs. L’article rappelle qu’un chapitre est consacré au témoignage d’Isabelle Saladin, Présidente des Rebondisseurs français, qui en revenant sur « les raisons culturelles d’une conception négative de l’échec en France, aide à envisager l’échec non comme le résultat d’un projet d’entreprise mais comme une étape de son développement et de sa transformation en « homo-entrepreneurus ».
A lire sur https://www.ecoreseau.fr/galaxie/2021/01/12/67626-vite-compris-le-13-janvier/
Enfin, Le Journal des Entreprises (toutes éditions) parlait le 11 janvier 2021 de la crainte des entrepreneurs face au dépôt de bilan. La journaliste Valérie Dahm a interviewé Stéphanie Pauzat (vice-présidente déléguée à la CPME) et Lionel Fournier (directeur de la région Atlantique d’Harmonie Mutuelle) sur une récente étude réalisée par la CPME, Harmonie Mutuelles-Vyv et Amarok relative au contexte de crise sanitaire et à son impact sur la santé des dirigeants de PME, aggravant notamment les risques de burn-out.
Dans cet article, Lionel Fournier dit que « les chefs d’entreprise ont tous été confrontés à l’échec ou au risque d’échouer. Si cela est mal vécu en France, ce n’est pas le cas dans les pays anglo-saxons qui intègrent l’échec comme une expérience entrepreneuriale formative. Il n’y a pas de possibilité d’entreprendre s’il n’y a pas droit à l’échec ! Mais il ne faut pas sombrer pour autant. Le risque est maximisé quand l’identité de la personne se confond avec celle de l’entreprise. Des associations de soutien existent, telles que 60 000 Rebonds (soutien des entrepreneurs en liquidation, NDLR) ou Les Rebondisseurs français (communauté d’échange de 900 entrepreneurs qui agit pour que le rebond soit un succès, NDLR). »Un chef d’entreprise qui a déposé le bilan ne devrait pas être « marqué au fer rouge » par les structures financières, la Banque de France, L’État, les dispositifs de création d’entreprise…
Ce à quoi Stéphanie Pauzat répond : « Il est vrai que l’échec comme élément normalisé de trajectoire entrepreneuriale n’est pas intégré en France. Un chef d’entreprise qui a déposé le bilan ne devrait pas être « marqué au fer rouge » par les structures financières, la Banque de France, l’État, les dispositifs de création d’entreprise… Encore moins avec la crise liée au Covid. Ces gens-là ont des profils d’entrepreneurs qui restent nécessaires pour relancer des entreprises en France. »
Un article à consulter sur https://www.lejournaldesentreprises.com/france/article/les-dirigeants-de-pme-declarent-davantage-craindre-le-depot-de-bilan-que-le-covid-832217
Bonne lecture !
