Cette semaine, nous avons retenu 4 articles pouvant être utiles à connaître pour avancer et rebondir :
- Les Echos Entrepreneurs ont publié un article le 1er mars 2021 sur le dernier observatoire Amarok, attirant l’attention sur le risque de burn out des chefs d’entreprise : le pourcentage de population à risque de burn-out parmi les dirigeants de PME a doublé en un an, passant de 17,5 % à 36,7 % aujourd’hui. Le pourcentage des chefs d’entreprise en danger de burn-out atteint des niveaux « alarmants », passant de 1,75 % à 10,41 %. Et l’article de donner la parole à Olivier Torrès, président de l’observatoire Amarok : « Ils sont très souvent hyperactifs et souffrent donc du manque d’activité. La montée en flèche du sentiment d’impuissance, d’être coincés face à une situation qu’ils ne maîtrisent pas et qui dure est le facteur le plus inédit de la crise sanitaire sur le moral des patrons », insistant sur la nécessité, dans les cas les plus graves, d’avoir recours à une aide extérieure.
Pour prévenir Amarok a lancé une application d’autoévaluation de santé mentale, accessible auprès des services de santé au travail comme Présanse Occitanie
Pour en savoir plus, se rendre sur https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/efficacite-personnelle/0610496713512-epuises-certains-patrons-de-pme-risquent-de-passer-a-cote-de-la-reprise-342418.php
- Le Figaro Entrepreneur revenait quant à lui le 10 février 2021 sur des entreprises qui ont innové face à la crise. Avec 3 pistes de travail : booster ses singularités comme Norauto et les brasserie Castelain ; se donner une nouvelle utilité sociale, choix fait par Damart en développant Allo Résa ; ou encore fédérer ses équipes, axe qu’ont travaillé ces trois entreprises.
- Chefdentreprise.com publiait le 5 février un article sur le nouveau dispositif de prêts participation mis en place par Bercy à compter du 1er avril 2021 et en détaillait les modalités.
« Les PME, qui ont réalisé un chiffre d’affaires minimum de deux millions d’euros en 2019, et l’ensemble des ETI pourront donc choisir entre les prêts et les obligations. Le premier outil, qui va être distribué par des réseaux bancaires à partir du 1er avril 2021, propose un différé d’amortissement de quatre ans (…) Les obligations subordonnées vont quant à elles être distribuées par des sociétés de gestion et remboursées en une seule fois au bout de huit ans. »
Un autre article tente d’éclairer les différents dispositifs existants pour préserver les emplois – chômage partiel, l’activité partielle longue durée (APLD) et l’accord de performance collective (APC), ainsi que les ruptures conventionnelles collectives (RCC), plans de départs volontaires (PDV), etc.
Bonne lecture !