« Les chroniques du droit social », une série de rencontres mensuelles animées par Maître Géraldine Françon, avocate en droit social, vont être organisées en visioconférence jusqu’à l’été 2022. L’objectif est d’éclairer les entrepreneurs sur plusieurs sujets clés pour que le droit social ne soit ni une source d’échec, ni un frein au rebond.
L’association des Rebondisseurs Français continue d’enrichir ses initiatives pour soutenir les démarches de rebond des entrepreneurs. En nouant un partenariat avec le cabinet Francéa Avocats sous l’impulsion de sa fondatrice, Maître Géraldine Françon, elle va proposer à ses adhérents des sessions d’information et d’échanges sur différents sujets et actualités du droit social : « Les chroniques du droit social ».
Les deux premiers rendez-vous sont fixés les 18 novembre et 16 décembre 2021. Lors de ces événements en ligne, Maître Françon fera le point pendant une vingtaine de minutes sur un sujet sur lequel le cabinet est interpelé à de nombreuses reprises. Puis elle répondra aux questions des Rebondisseurs Français adhérents.
« Pour être prêts à rebondir, il est important que les chefs d’entreprise aient quelques connaissances juridiques sur les sujets sociaux auxquels ils peuvent être confrontés. L’objectif de l’initiative mise en place avec Maître Françon est de leur donner des éléments pour gagner du temps en sachant sur quoi et à quel moment mobiliser un professionnel du droit social si leur activité connaît des soubresauts et que les relations sociales se tendent », explique Isabelle Saladin, Présidente des Rebondisseurs Français.
Francéa est un cabinet d’avocats en droit social créé en 2013 à Lyon par Géraldine Françon. Il accompagne des chefs d’entreprise de toutes tailles dans la construction de leur stratégie sociale et dans la recherche de solutions au quotidien à leurs problématiques sociales tant en conseil qu’en contentieux.
« Le rebond est une valeur à laquelle je suis profondément attachée. Exerçant en profession libérale, j’ai moi-même, comme tout entrepreneur, été amenée à rebondir au cours de ma carrière professionnelle. J’estime que l’entrepreneuriat, et en particulier l’entrepreneuriat au féminin, doit être soutenu et encouragé. Pour ces deux raisons, auxquelles s’ajoute une sensibilité personnelle forte vis-à-vis de l’engagement associatif, j’ai souhaité apporter ma pierre à l’édifice des Rebondisseurs Français. Ma volonté avec ces chroniques mensuelles est de mettre bénévolement mon expertise à la disposition d’entrepreneurs pour qu’ils soient prêts à rebondir le jour J. En apportant ainsi une contribution à leurs rebonds, j’espère participer au changement de regard porté en France sur l’échec entrepreneurial car il n’est pas une fatalité, et ne doit en aucun cas signifier la fin de l’entrepreneuriat », conclut Géraldine Françon, associée chez Francéa Avocats.