Nash Hughes, membre des Rebondisseurs Français et membre du CA, a répondu aux questions d’Elodie Chermann pour un article paru dans Le Parisien le 6 juillet 2020.
Dans cet article, il revient sur son parcours, ses échecs et ses rebonds :
- 2013 : il doit fermer l’agence de communication digitale qu’il avait monté avec sa femme Elodie faute d’avoir réussi à surmonter la crise financière et économique de 2008. Il trouve un repreneur qui a conservé les 30 emplois.
- 2015 : il a vécu la chute de leur second société spécialisée dans le financement des start-up et pour laquelle ils avaient rejoint un accélérateur en Californie mais dont le business model n’était pas assez robuste. Retour en France, après avoir tout perdu …
- 2017 : après de très nombreux échanges avec les start-uppers français, il a choisi de s’investir auprès des entrepreneurs français et dans le monde associatif. Avec Elodie, il lance Light Me Up qui travaille sur la facilitation, l’enseignement et l’accompagnement des entreprises. Un moyen de capitaliser tout ce qu’on avait appris et de faire de notre échec une opportunité. Puis il s’engage avec les Rebondisseurs Français convaincu que l’échec a plus de vertus que le succès. Car il permet de revenir à l’essentiel, de se remettre en question , de capitaliser sur ce qu’on a appris ou d’explorer de nouvelles voies
Interview à lire sur https://www.leparisien.fr/economie/mon-entreprise-ma-sante/l-echec-une-etape-presque-obligatoire-du-parcours-de-l-entrepreneur-06-07-2020-8345388.php