« En 2015, lorsque j’ai pris la pénible décision de fermer mon entreprise après 4 années d’activité, je me suis retrouvé seul pour gérer mon échec, avec le sentiment d’un immense gâchis.
Malgré la crise de 2008, la mentalité française sur les défaillances d’entreprises n’avait quasiment pas changé.
Alors quand j’ai appris l’existence des Rebondisseurs français, j’ai pensé que notre culture économique était enfin entrain d’évoluer positivement.
Il fallait que je fasse parti du mouvement !. »