Un article paru le 26 octobre dans l’Usine Nouvelle revient sur les bonnes pratiques entrepreneuriales en cas d’échec, illustrées par le stémoignages de Jean-Marc Barki, PDG de SeaLock et Denis Fayolle, notre ambassadeur de la 1ère heure, fondateur et business angel d’une quinzaine de startup ; ainsi que par les propos de Sybille Persson, professeur en ressources humaines et organisation à l’ICN Business School, Helena Gonzalez, chercheuse et responsable du département académique hommes et organisations de Neoma Business School et Amélie Favre-Guittet, aujourd’hui à la tête d’un cabinet de conseil en ressources humaines
4 attitudes gagnantes sont présentées :
- accepter la situation et non se réfugier dans le déni
- savoir gérer ses sentiments en analysant les émotions générées par l’échec
- faire preuve de résilience, notamment en s’entourant
- apprendre de son échec
et de conclure
« Inverser le regard négatif sur l’échec et diffuser la culture de la valorisation de l’expérience. Telle est la philosophie des Rebondisseurs français, mouvement lancé en mai par quatre entrepreneurs. Cette association loi de 1901, qui a entrepris de diffuser des témoignages de « rebond » de chefs d’entreprise ou de managers via des conférences et des colloques, a aussi lancé une plate-forme en ligne sur laquelle peuvent s’inscrire tous les « rebondisseurs français, personnes, entreprises, établissements scolaires ». Changer le regard sur l’échec, c’est aussi l’ambition des re.start awards, qui ont distingué le 20 septembre des entrepreneurs ayant connu un échec et su rebondir. »
A retrouver en intégralité sur https://www.usinenouvelle.com/article/guide-comment-rebondir-apres-un-echec-professionnel.N758389