Dans une vidéo publiée sur nos réseaux sociaux, Xavier Ginoux, fondateur des Openmind Kfé, partage son expérience de Rebondisseur.
Xavier a exercé plein de métiers différents dans sa carrière : il a vendu des shampoings, il a travaillé dans la presse fi, il a aidé des entreprises à s’introduire en bourse, il a dirigé son agence d’événementiel. Se retrouvant malgré lui au chômage à 50 ans, après une période d’introspection et de réflexion, il a continué à avancer.
Son chemin l’a conduit à créer les Openmind Kfé. Sa volonté était d’offrir des espaces qui facilitent l’intelligence collective pour rendre les réunions plus efficaces. Pour cela, il a suivi les préceptes des neurosciences sur lesquelles il s’est documenté et a beaucoup lu. Aujourd’hui, il propose aux entreprises 4 lieux inspirants dans Paris.
L’arrivée de la Covid-19 a ralenti le développement de ses Openmind Kfé. Mais Xavier a poursuivi son projet. Certes, il est difficile de promouvoir une activité qui consiste à proposer des lieux fermés, surtout quand on lit dans la presse qu’il faut éviter les regroupements dans des espaces clos. Mais très vite, Xavier a mis au point un protocole sanitaire strict qui lui permet de ré-ouvrir ses espaces – d’autant que les salles des Openmind Kfé sont grandes, aérées, et peuvent sans souci accueillir jusqu’à 10 personnes en respectant les 4 m2 par personne.
Comme tout Rebondisseur, au cours de cette période inédite et particulière, Xavier est resté positif. Gérer et maintenir la motivation de son équipe avec le chômage partiel et la période de confinement a été un véritable challenge. Mais finalement le coronavirus a accéléré des mutations qui avaient commencé et auxquelles les Openmind Kfé apportaient des réponses. Le télétravail, l’hybridation du lieu de travail, la transformation du management s’accélérèrent. Toutefois les réunions ne disparaissent. Au contraire même, les entreprises ont besoin de nouveaux lieux « covid-compatibles » pour que leurs équipes se voient et travaillent ensemble.
Ce que Xavier retient de son parcours et de la période de la Covid : que face à toute épreuve, on peut rebondir. Qu’il faut toujours s’efforcer de voir le verre à moitié plein et non à moitié vide. Qu’il ne faut pas dire « mais », et préférer dire « et ». Alors on reste positif et on avance !
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